Le Phare de Capernam – Ajia en 5 nouvelles

Plutôt que de parler de ses personnages soumis aux affres de la vie mortelle, Le Phare de Capernam, interlude premier de la Noire essence, propose de découvrir encore un peu plus l’univers complexe et fascinant de Jeanne Perrin à travers cinq nouvelles qui mettent en scène les divinités d’Ajia.

Interlude(s)

Et si un chat — ou une créature qui ressemblerait à un chat — pouvait se montrer le gardien idéal pour une bibliothèque magique ? Et si un dieu avait parfois besoin d’une oreille compatissante pour l’écouter partager ses soucis ? Les contes recèlent-ils une part de vérité ? Comment est la vie du gardien du plus grand phare du monde ? Et si, au cœur du désert, deux immortels se donnaient rendez-vous tous les vingt-cinq ans ?

Ce qu’on en pense

Sans se départir de son humour, de son lyrisme et de sa touche de mystère caractéristique, Jeanne Perrin nous propose de visiter les coins les plus secrets du désert du Ryn, les espaces liminaux entre les couches de la réalité et bien sûr le phare le plus célèbre de son univers. Si ces récits sont indépendants, on vous conseille d’avoir au moins lu Nuit nimraokhen afin de mieux saisir les indices, liens et secrets que révèlent ces cinq textes au sujet de l’univers complexe et subtil de la Noire essence

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